28 février, annonce tonitruante du groupe de presse Axel Springer : celui-ci va supprimer des postes dans la « production » journalistique de ses titres, en les remplaçant par des algorithmes d’intelligence artificielle (IA). Dans le même temps, le géant allemand des médias promet de valoriser les reportages, scoops, et enquêtes. Demain, le journaliste pourra-t-il vraiment être remplacé par un lire la suite
28 février, annonce tonitruante du groupe de presse Axel Springer : celui-ci va supprimer des postes dans la « production » journalistique de ses titres, en les remplaçant par des algorithmes d’intelligence artificielle (IA). Dans le même temps, le géant allemand des médias promet de valoriser les reportages, scoops, et enquêtes.
Demain, le journaliste pourra-t-il vraiment être remplacé par un ChatGPT et autres algorithmes ? Quelle sera la qualité des publications, et même, la responsabilité juridique des médias qui feraient un usage immodéré de robots rédacteurs ?
L’IA est aussi au coeur de Google et des réseaux sociaux : un changement subreptice de leur mécanique logicielle peut avoir une influence importante sur l’audience des sites Web de la presse et des médias.
Alors, l’IA constitue-t-elle une menace pour les journalistes ? Présente-t-elle au contraire des opportunités ? L’Association des Journalistes de Toulouse et de sa région ouvre le débat.
Avec nous pour en parler :
- Pascal Pallas, éditeur Occitanie du groupe Publihebdos
- Jean-Michel Loubes, directeur scientifique d’Aniti, Institut Intelligence artificielle et naturelle, Université de Toulouse
- Stanley Claisse, avocat spécialisé dans le droit de la presse
- Patrick Séguéla, président de la société Synapse
Date et lieu :
Lundi 27 mars, de 19h à 20h30, dans les salons de notre partenaire, le Novotel Compans-Caffarelli, à Toulouse, et en visio par Zoom.
Un cocktail sera offert et un dîner est prévu sur place. Merci de vous inscrire par mail à l’adresse ajt@ajt-mp.org à cette soirée en nous précisant si vous réservez une place au dîner qui suit, au plus tard le jeudi 23 mars
