Déjeuner Presse « Off » au Club de la presse de Bordeaux… Annexe du Bar de la Marine, rue Achard … Un moment d’information et d’intense convivialité grâce aux invités de Claudia Courtois et Frank Niedercorn: Pierre-Marie Lincheneau, psychologue-alcoologue à Bordeaux et Stéphane Brugère, psychiatre aux urgences de Charles Perrens et en libéral ( Trop craquants, comme lire la suite
Déjeuner Presse « Off » au Club de la presse de Bordeaux… Annexe du Bar de la Marine, rue Achard … Un moment d’information et d’intense convivialité grâce aux invités de Claudia Courtois et Frank Niedercorn:
Pierre-Marie Lincheneau, psychologue-alcoologue à Bordeaux et Stéphane Brugère, psychiatre aux urgences de Charles Perrens et en libéral
( Trop craquants, comme vous le voyez sur la photo signée …MC Courtioux CPBX2012)
Sujet: Les six noyés – dans la Garonne et aux bassins à flots – avaient comme points communs d’être jeunes et fortement alcoolisés. Dans leur cabinet, les psychologues-alcoologues voient de plus en plus de jeunes dépendants de l’alcool. Les jeunes Bordelais sont-ils plus insouciants ou plus alcoolisés que les autres dans d’autres villes ? Quel est le rapport de la société française avec l’alcool ? Boit-on plus, moins, différemment, aujourd’hui qu’il y a 10 ans ? Comment expliquer la persistance des rumeurs malgré les dénégations de la police ? Pourquoi naissent-elles autour de ce type de phénomène et pas sur d’autres ? Pourquoi aujourd’hui, plus qu’il y a 10 ans ?
L’échange a été intéressant. Pas passionné du tout. Très clair: nos deux invités ont affirmé que la solution n’est pas dans la multiplication des corps d’intervention, des associations, pompiers ou autres bénévoles.
Pour eux, la société dispose de l’organisation nécessaire et suffisante: c’est la force publique …(Eh Oui…Venant de psys, on veut les croire) qui doit se montrer et assurer la sécurité, préventive ou répressive de la zone concernée par les excès prévisibles.
Rappel du principe des déjeuners « off » :
Ces repas sont ouverts à tous les journalistes professionnels, avec une priorité aux journalistes actifs membres du Club de la presse. Le déjeuner est « off » en fonction des conditions posées par l’invité(e-s). Il dure le temps d’un déjeuner (12-14 heures) pour optimiser le temps de chacun, mais un temps suffisamment long pour approfondir une problématique liée à l’actualité.