Le plus ancien Club de la Presse de France, celui de Bretagne, a fêté, les 15 et 16 novembre derniers, ses 50 ans à Rennes lors de deux journées professionnelles et publiques du festival « Raconter hier, raconter demain ». Retour sur cet anniversaire auquel nous avons eu le plaisir d'être convié·e·s.
Invité par le Club de la presse de Bretagne qui célébrait son cinquantenaire, plusieurs Clubs de l’hexagone ont répondu présent, dont celui de la Nouvelle-Aquitaine et de l’Occitanie. Confrontés aux mêmes enjeux rencontrés par la profession, aussi bien du côté du journalisme que de la communication, la Bretagne avait élaboré un programme riche en résonance avec l’actualité : intelligence artificielle, éducation aux médias et à l’information, journalisme en milieu rural…
Parmi les temps forts, une table-ronde sur l’investigation locale et la protection des sources, avec, pour invité.e.s, Morgan Large (journaliste, Radio Kreiz Breizh), Nicolas Legendre (journaliste, Splann ! Et Prix Albert Londres) et Antony Torzek rédacteur en chef, Médiacités Nantes, qui a largement rempli ses promesses en entrant directement dans le vif du sujet en évoquant la difficile étanchéité entre espace privé, sécurité, et espace professionnel.
Pourquoi rejoindre un Club de la Presse ?
Lors de cet atelier, Elodie Moïsa (Club de la presse de Bretagne), Agnès Maurin (Club de la presse Occitanie) et Richard Hecht (Club de la presse de Bordeaux Nouvelle-Aquitaine, membre de l’UCP2F – Union des Clubs de la presse de France et Francophones), ont développé leurs stratégies respectives et se sont donnés comme perspectives de travailler ensemble sur plusieurs pistes, dont le développement des actions d’EMI avec les Maisons de quartiers.
En septembre dernier, le président de l’ UCP2F, Aurélien Tournier, avançait dans un billet plusieurs bonnes raisons de rejoindre un Club de la Presse près de chez soi.
Photo : Julien Marsault – Club de la presse de Bretagne
Texte : Richard Hecht, chargé de mission « Editorial et contenus rédactionnels » du Club