Nous devions arrêter de bloguer. C’était écrit, promis, juré. Mais il en fut autrement, au moins pour quelques mois. La raison est toujours la même, nous bloguons parce que nous ne lisons pas les médias qui nous conviennent. Nous bloguons par réaction à l’offre médiatique. Difficile de terminer une année sans répertorier cette déception : lire la suite
Nous devions arrêter de bloguer. C’était écrit, promis, juré. Mais il en fut autrement, au moins pour quelques mois. La raison est toujours la même, nous bloguons parce que nous ne lisons pas les médias qui nous conviennent. Nous bloguons par réaction à l’offre médiatique. Difficile de terminer une année sans répertorier cette déception : l’alternance n’a rien changé de ce point de vue là.
L’année 2012 s’achève sur une nouvelle interrogation : avons-nous les médias que nous méritons ?
Sur le papier, l’offre d’informations est, en France, formidable. Le Web a permis de chambouler quelques situations acquises, mis sous pression une éditocratie surpuissante, non sans hystérie ou emballements. Et tous les médias ne sont pas à jeter, loin s’en faut.
LE LIEN VERS LA SUITE