28 organisations syndicales, associations et collectifs de journalistes ont co-signé un communiqué rédigé par le SNJ – SNJ-CGT – CFDT-Journalistes et SGJ-FO. Dans ce tract, ces signataires exigent que le décret en cours d’écriture au ministère de la Culture détermine des critères clairs sur l’éligibilité des journalistes rémunéré.e.s à la pige au chômage partiel. Des lire la suite
28 organisations syndicales, associations et collectifs de journalistes ont co-signé un communiqué rédigé par le SNJ – SNJ-CGT – CFDT-Journalistes et SGJ-FO.
Dans ce tract, ces signataires exigent que le décret en cours d’écriture au ministère de la Culture détermine des critères clairs sur l’éligibilité des journalistes rémunéré.e.s à la pige au chômage partiel. Des solutions simples existent.
Des employeurs craignent des requalifications : rappelons-leur avec fermeté que les journalistes-pigistes sont déjà lié.e.s avec eux par un contrat de travail ! Les pigistes sont déjà des salarié.e.s et ne peuvent pas être laissé.e.s sur le bord du chemin.
Lire le communiqué ici.
La liste des signataires :
Syndicats de journalistes SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes et SGJ-FO, Fédération internationale des journalistes, Fédération européenne des journalistes, CNT, SGLCE-CGT Correcteurs ; Profession : Pigiste ; Union des photographes professionnels (UPP), Divergence-Images ; Association de la Presse judiciaire (APJ), Association des journalistes scientifiques de la presse d’information (Ajspi), Association des Journalistes Nature et Environnement (JNE), Association des journalistes économiques et financiers (Ajef), Cercle des journalistes juridiques (CJJ) ; Collectifs We Report, Ras la plume, Indépendants.co, Spartacus (réseaux de correspondants de l’étranger), Les Pigistes du Monde, Les Plumé.e.s, YouPress, Reporters en colère (REC), La Fourmilière, Extra-Muros, Les Incorrigibles, Tu piges.