La revue animée par Colette Lièvre vient de sortir son premier numéro de l’année. Au sommaire, les nouvelles habituelles ou historiques des monuments de la belle région située entre Garonne et Dordogne, comme le château de Langoiran. Mais aussi des chroniques et commentaires sur les vies et les jours d’un petit peuple des lieux… « lire la suite
La revue animée par Colette Lièvre vient de sortir son premier numéro de l’année. Au sommaire, les nouvelles habituelles ou historiques des monuments de la belle région située entre Garonne et Dordogne, comme le château de Langoiran. Mais aussi des chroniques et commentaires sur les vies et les jours d’un petit peuple des lieux…
« Le numéro 130 de vos petits cahiers est de sortie, soit le premier numéro de cette année 2017 que toute la rédaction vous souhaite heureuse, sereine, avec ces petits bonheurs qui sont à la portée de tous: un rayon de soleil, le chant d’un oiseau, le sourire du ronchon de service, etc… etc… bref de ces petits riens qui vous changent la vie ! ».
Tel est le début de l’éditorial de Colette Lièvre, la rédactrice en chef des « Cahiers de l’Entre Deux Mers », une publication bien de chez nous. A retrouver sans coup férir sur www.cahiers-entre-deux-mers.fr, pour s’évader sans parcourir plus de 40 km de Bordeaux.
Non aux cyborgs !
Ainsi rappelle-t-elle que nous sommes entrés selon l’horoscope chinois dans l’année du coq, « le seul animal qui chante les pieds dans la merde », ce qui pourrait correspondre à la situation de quelques peuples sur notre bonne vieille terre. Les Cahiers ne sont pas un lieu de lamentations, même si un article évoque la question de « cacher ces vieux que l’on ne saurait voir » ou un autre « la crise et les cyborgs », alias cette invasion de robots qui suppriment des emplois humains.
Mais il y a aussi un titre en forme de slogan : « Trop belle la vie ! » et un autre qui se penche sur les solutions : « Le vivre-ensemble », « Les gens d’ici », pour trouver des liens là où le vacarme de l’actualité prétend les atténuer ou les faire disparaître.
Et cet esprit d’ouverture apparaît aussi dans les vœux pour 2017 adressés par Colette Lièvre : vœux aux gens du coin, bien sûr, mais aussi à tous les peuples, « et aux Chinois, conclut-elle, qui ont décidé de s’installer en Entre-Deux Mers ! »
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