Du côté de la déontologie aussi on se réveille. Et pourtant, c’est si simple. La profession de journaliste possède son code de comportement depuis … toujours ? la plupart des grands organe de presse, les syndicats, ont édicté leurs chartes de bonnes pratiques. Or les conditions de travail et de publication, l’origine des sources, la lire la suite
Du côté de la déontologie aussi on se réveille. Et pourtant, c’est si simple. La profession de journaliste possède son code de comportement depuis … toujours ? la plupart des grands organe de presse, les syndicats, ont édicté leurs chartes de bonnes pratiques.
Or les conditions de travail et de publication, l’origine des sources, la rapidité d’exécution, la pratique de la curation ont introduit des facteurs de doute.
Une formulation particulièrement réussie a été repérée – comme il se doit – par le président de l’Observatoire de la Déontologie de l’Information. Les anglo-saxons ont le don pour rendre les données filandreuses digestes comme un cours de sciences dans un film de Walt Disney.
A lire sans faute, donc :
