Via l’association Presse et pluralisme, le Monde Diplomatique fait un appel aux dons adressé à ses lecteurs par l’entremise de sa lettre d’information. On y lit : « Soutenez-nous, faites un don Pour un journalisme international Un accord sur le nucléaire iranien qui marque la première détente entre Washington et Téhéran depuis la révolution islamique de lire la suite
Via l’association Presse et pluralisme, le Monde Diplomatique fait un appel aux dons adressé à ses lecteurs par l’entremise de sa lettre d’information.
On y lit :
« Soutenez-nous, faites un don
Pour un journalisme international
Un accord sur le nucléaire iranien qui marque la première détente entre Washington et Téhéran depuis la révolution islamique de 1979. Le refus américain de bombarder la Syrie, alors que la France joue les va-t-en-guerre. Les interventions de Paris au Mali et en Centrafrique. Les révolutions arabes, noyées sous les divisions confessionnelles, qui cherchent un second souffle. La construction par la Chine d’une puissante marine et le renforcement de ses capacités de projection. L’Arctique qui se transforme en un enjeu stratégique avec le dégel et l’ouverture de nouvelles routes maritimes… En deux décennies, le paysage stratégique mondial a basculé. Il est difficile de toujours donner sens à ces évolutions alors que la guerre froide appartient définitivement au passé et que se dessine un monde à la fois multipolaire et désordonné.
Le Monde diplomatique s’attache à rendre compte au plus près de ces évolutions, à décrypter ces phénomènes inédits. De l’essoufflement des Etats-Unis à l’atonie de l’Union européenne, affaiblie par la crise et par ses propres choix. De l’émergence de nouvelles puissances – Chine, Brésil, Afrique du Sud, Inde – à la compétition entre elles pour occuper une place originale dans le système international né de la victoire des alliés en 1945 – par certains aspects à bout de souffle. Cela demande une collaboration étroite avec les chercheurs en France mais aussi à l’étranger, des reportages et des enquêtes au long cours. Pour pouvoir continuer à faire prévaloir ce type de journalisme, nous avons besoin de moyens et des dons de nos lecteurs. »