Près des deux tiers des journalistes français estiment que l’information trouvée est toujours ou souvent utile sur Twitter Selon une enquête de l’agence conseil Gootenberg, 77% des journalistes soulignent la diversification des sources apportée par les réseaux et plus de un sur deux (56%) la simplification des recherches. Deux réseaux sont consultés par plus de 2/3 lire la suite
Près des deux tiers des journalistes français estiment que l’information trouvée est toujours ou souvent utile sur Twitter
Selon une enquête de l’agence conseil Gootenberg, 77% des journalistes soulignent la diversification des sources apportée par les réseaux et plus de un sur deux (56%) la simplification des recherches. Deux réseaux sont consultés par plus de 2/3 d’entre eux : Wikipédia (77%) et Twitter (69%) et plus de la moitié consulte également LinkedIn (57%), les blogs (57%) et Facebook (54%). Près des deux tiers des journalistes estiment que l’information trouvée est toujours ou souvent utile sur Wikipédia et Twitter.
L’information sur les réseaux sociaux reste jugée moins sûre
Prudents à l’égard de l’information sur les réseaux sociaux, ils sont 79% à constater que l’usage des réseaux sociaux conduit à la multiplication des pièges et 70% à estimer que les réseaux sociaux n’ont pas remplacé les anciennes méthodes. En effet, l’information sur les réseaux sociaux est jugée moins sûre, avec une note de confiance de 50 sur 100, que les autres sources (contacts terrain, articles de presse ou site web de l’entreprise) qui obtiennent une note de confiance moyenne à 66. Les journalistes qui reçoivent des demandes de contact de la part des entreprises sur les réseaux sociaux sont plus enclins à accepter ou examiner, pour la majorité d’entre eux, celles reçues via Twitter (63%) et LinkedIn (60%). L’enquête s’est déroulée en ligne entre le 5 juillet et le 15 août 2013 auprès de 1 190 journalistes issus de l’ensemble des médias (print, web, audiovisuel) recensés par la base horsantenne.com.
Nicolas César